Pailler à Ghignu, près de Malfalcu
Les signes d’occupation humaine se sont faits aujourd’hui rares entre Saleccia et la Punta di l’Acciolu. Pourtant, la présence ancienne d’agriculteurs et d’éleveurs a laissé de multiples traces dans le paysage. A Ghignu, une douzaine de pagliaghji ou « paillers », cabanes de pierre sèche qui servaient autrefois d’abri ou d'entrepôt, ont été sobrement aménagés en gîte d’étape pour les randonneurs sur le sentier littoral.