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La réserve naturelle de Scandula et le golfe de Girolata
© Pierre Bona
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Baie d’Elbu
Elbu, juste sous la ligne de partage entre les départements de la Haute-Corse et la Corse-du-Sud, est aussi la porte d’entrée nord dans la réserve naturelle de Scandula. La tour génoise se situe hors du périmètre de la réserve.
© Jean-Pol Grandmont
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Réserve naturelle de Scandula
La presqu’île de Scandula présente un rivage ponctué de falaises rhyolitiques escarpées, de grottes sous-marines et de petits îlots. C’est le royaume des oiseaux marins, du Balbuzard pêcheur et d’une flore rupestre riche en plantes endémiques. On doit à la géologie d’extraordinaires formations minérales, mais aussi de somptueux jeux de couleurs
© Bar-Christian
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Réserve naturelle de Scandula
La palette des roches, qui va du rouge des rhyolites et des ignimbrites au noir des coulées de basalte, en passant par les teintes plus claires des lahars, contraste avec le vert de la végétation qui s’accroche aux falaises, et le bleu profond des eaux du Golfe de Porto.
© Jean-Pol Grandmont
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Punta Palazzu
Les laves qui semblent à peine refroidies livrent le secret d’un paysage né d’une catastrophe volcanique vieille de 250 millions d’années.
© Wikimedia
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Orgues basaltiques, falaises de rhyolite et trottoirs d'algues coralligènes
Scandula est inaccessible par voie terrestre. La réserve se visite uniquement par la mer et tout débarquement est interdit.
© Jean-Pol Grandmont
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Orgues basaltiques, falaises de rhyolite et trottoirs d'algues coralligènes
Les bateaux de plaisance et les navettes maritimes venues d’Ajaccio, Cargèse, Porto ou Calvi ne sont cependant pas sans impact sur un écosystème qui reste à ce jour l’un des mieux préservés en Méditerranée.
© KlausF
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Golfe de Girolata
Seul lieu habité au nord du Golfe de Porto, Girolata est aussi le seul abri sûr pour les bateaux sur la côte entre Calvi et Ajaccio. On ne peut rejoindre que par la mer, ou bien à pied depuis la RD81 qui passe sur les crêtes en retrait du rivage, cet ancien hameau de bergers devenu un petit port spécialisé dans la pêche à la langouste, et plus récemment un pôle d'attraction estival.
© Jean-Philippr Grillet / Cdl
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Tour de Girolata et son fortin
Depuis le XVIe siècle, du haut de son promontoire, le fort génois veille sur le havre de Girolata. Le corsaire Dragut qui y avait trouvé refuge en fut délogé en 1540 par la flotte du lieutenant Giorgio Doria. Le bâtiment fait désormais partie du patrimoine du Conservatoire qui prévoit de la restaurer et de l’ouvrir au public.
© Isiwall
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Plage de Tuara en été
Isolement, absence de voitures, omniprésence de la mer : l'ambiance de Girolata est incontestablement insulaire. Mais le charme de cette « île terrestre » opère surtout hors saison. L’été, le site est victime de son succès. Les plaisanciers et passagers des navettes maritimes qui se pressent dans le hameau posent des problèmes de déchets, de sécurité, et d’assainissement difficiles à gérer pour une petite commune aux ressources modestes.