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Du golfe de Lava à la pointe de la Parata : une côte sauvage aux portes de l’agglomération d’Ajaccio
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Golfe de Lava, entre la Punta Pelusella et le Capu di Fenu.
Bien que tout proche de l’agglomération ajaccienne, le bassin de Lava fait figure de « bout du monde » quasi désertique. Le paysage de « savane » sèche, plus ou moins recolonisée par un maquis dégradé, est le fruit d’un pastoralisme multiséculaire et de la répétition des incendies.
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Vue depuis le Capu di Fenu avec, au fond, les îles Sanguinaires.
Poste avancé de la Corse montagneuse, le Capu di Fenu marque un point de bascule géographique et paysager entre les golfes de Sagone et d’Ajaccio.
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Versant nord du Capu di Fenu
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Plaine de Sevani, à l’arrière de l’anse de Minaccia
Un monde à part qui tourne le dos à l’agitation urbaine de l’agglomération d’Ajaccio, dans un paysage vallonné bien moins aride que celui de Lava.
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Anse de Minaccia.
La côte rocheuse s’ouvre sur quelques plages de sable accueillantes, en particulier celles du Petit Capo (premier plan) et du Grand Capo (au fond), très prisées par les habitants d’Ajaccio. Les constructions se limitent à ce jour à de rares fermes isolées et quelques implantations récentes en bord de mer, dont le hameau résidentiel de Capigliolo.
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Sentiers
Sur le littoral comme à l’intérieur des terres, de nombreux chemins permettent de découvrir les multiples visages de ce territoire resté en grande partie naturel.
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Sentiers
Sur le littoral comme à l’intérieur des terres, de nombreux chemins permettent de découvrir les multiples visages de ce territoire resté en grande partie naturel.