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Le littoral ajaccien, de l’archipel des Sanguinaires à l’embouchure du Prunelli
© M. Osmenda
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Sanguinaires.
Ces îles, dont Alphonse Daudet évoque l’aspect farouche dans sa nouvelle « Le Phare des Sanguinaires » (Lettres de mon moulin), sont devenus l’un des sites emblématiques de la Corse et de la région d’Ajaccio.
© RMN Grand Palais
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Route des Sanguinaires.
La route littorale menant d’Ajaccio à la Parata passe au pied des crêtes du mont Cacalo en longeant une succession de petites plages. C’est à la fin du XIXe siècle qu’ont été construites les premières villégiatures sur cette « riviera ajaccienne » abritée des vents d’ouest. Malgré l’étroitesse de l’espace disponible, la pression foncière et immobilière pèse de plus en plus sur ce front de mer.
© Atlas des paysages de Corse
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Route des Sanguinaires.
La route littorale menant d’Ajaccio à la Parata passe au pied des crêtes du mont Cacalo en longeant une succession de petites plages. C’est à la fin du XIXe siècle qu’ont été construites les premières villégiatures sur cette « riviera ajaccienne » abritée des vents d’ouest. Malgré l’étroitesse de l’espace disponible, la pression foncière et immobilière pèse de plus en plus sur ce front de mer.
© Koudkeu, Wikimedia commons
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Ajaccio
Le paysage urbain d’Ajaccio ne peut s’abstraire du contexte dans lequel il s’inscrit : la vaste ouverture du golfe au fond duquel la ville s’est nichée, et en fond de tableau la muraille majestueuse des montagnes.
© max guitare Wikimedia Commons
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Port d'Ajaccio.
© dmytrok Wikimedia commons
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La ville historique.
La ville génoise qui s’est développée à partir du XVIIe siècle autour de la citadelle construire en 1492, demeure aujourd’hui le cœur urbain d’Ajaccio.
© Ripnel Patrica-Corse
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La ville moderne.
Au XXe siècle, l’agglomération s’est étendue sur les premières collines avoisinantes et a investi la plaine littorale, débarrassée du paludisme. Les quartiers d’immeubles marquent fortement le paysage urbain actuel.
© Atlas des paysages de Corse
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Plaine de Campo dell’Oro.
L’aéroport, divers équipements et des zones artisanales et commerciales ont grignoté la plaine de Campo dell’Oro, la plus vaste de la Corse-du Sud, et avec elle un paysage agricole de grande qualité fait de prairies et de vergers maillés par des haies bocagères.
© M. Luccioni
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Embouchure du Prunelli.
Les cours de la Gravona et du Prunelli se rejoignent en bord de mer pour former un estuaire bordé par la longue plage de sable du Ricantu.
© Atlas des paysages de Corse
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Zone humide près de l’embouchure.
Dans la zone restée naturelle de l’estuaire, les ripisylves rythment un paysage de roselières et des prairies humides.
© R. Leonardini
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Plage du Ricantu.
Lieu de détente très apprécié des Ajacciens, le site du Ricantu était défiguré par des constructions disparates et les passages de véhicules, qui avaient transformé la lande d’arrière-plage en une esplanade terreuse et désolée. L’intervention du Conservatoire du littoral a permis à partir de l’an 2000 de lui donner une nouvelle vie, en maîtrisant les usages et en réalisant un projet ambitieux de restauration écologique et paysagère.