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De la Punta di Caniscione au Capu di Fenu, la côte de granite de la Testa Ventilegne
© Atlas des paysages de Corse
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Panorama vers le sud depuis le col de Roccapina
Au second plan, la Punta di Caniscione, site du Conservatoire du littoral, et la tour d’Olmeto.
© Atlas des paysages de Corse
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Monacia d’Aullène
Le village de Monacia est implanté à distance de la mer sous les premières crêtes de la montagne de Cagna.
© O. Bonnenfant, Office de l'Environnement de la Corse
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Pianotolli-Caldarello
Avec Monacia, Pianotolli-Caldarello est le second village de ce secteur du littoral et a été construit sur l’un des chaos rocheux dominant la plaine de Figari à proximité du littoral. Le site de U Casteddu est habité depuis des temps immémoriaux.
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Punta di Caniscione
Bien que d’accès parfois difficile, la façade maritime recèle de nombreuses criques appréciées des estivants et plaisanciers. La plupart sont aujourd’hui dans le domaine du Conservatoire du littoral.
© L.Sobra, Office de l'Environnement et de la Corse
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Mare temporaire à Arbitru
Le Conservatoire du littoral protège aussi les zones humides littorales, qui participent à la richesse des paysages.
© O. Bonnenfant, Office de l'Environnement de la Corse
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Îles Bruzzi
Les îlots de granite situés à l’entrée de l’anse de Chevanu sont inclus dans la Réserve naturelle des Bouches de Bonifacio. L’espace maritime protégé s’étend de la Cala di Roccapina, sur la côte occidentale, jusqu’à la Punta di a Chiappa, près de Porto-Vecchio, sur la côte orientale.
© Conservatoire du littoral
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Îles Bruzzi
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Baie de Figari
Le paysage de la rive droite a perdu son caractère naturel avec la construction de lotissements et du port de Pianotolli-Caldarello. En fond de baie, le paysage marécageux évoque les abers bretons soumis à la marée. De fait, il s’agit bien ici d’une « ria », c’est-à-dire d’une vallée creusée lors des dernières glaciations, alors que le niveau de la mer se trouvait plus bas, puis ennoyée au moment de la fonte des glaciers.
© Atlas des paysages de Corse
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Plaine de Figari
© Jean-Yves Géraud - www.panoramio.com
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Testa Ventilegne
Au-delà de la Baie de Figari, c’est la grande côte sauvage de la Testa Ventilegne qui a échappé à un vaste projet touristique envisagé dans les années 1960. Le massif de la Testa y forme un grand promontoire asymétrique avec une côte « sous le vent » plutôt plate qui abrite une chaîne de petites zones humides, et une côte « au vent » plus acérée. 
© O. Bonnenfant, Office de l'Environnement de la Corse
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Étang de Pisciu Cane
Le sentier littoral, qui fait le tour de la Testa puis du golfe de Ventilegne jusqu’au Capu di Fenu, permet de découvrir plusieurs zones humides d’une grande valeur écologique et paysagère.
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La Tonnara
Le petit port tire son nom de la pêche au thon. Accessible par la route passant au pied du mont de la Trinité, le site est la seule enclave non gérée par le Conservatoire du littoral dans le grand domaine de la Testa Ventilegne.
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Mont de la Trinité
Vieille de 300 millions d’années, la montagne cristalline veillait déjà sur l’extrême sud de l’île bien avant que le plateau calcaire de Bonifacio n’émerge des fonds marins où il s’est sédimenté. Au sommet du mont (219 m), l’ermitage que les moines ont quitté depuis la fin du XIXe siècle demeure un lieu de pèlerinage.
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Capu di Fenu et son phare
Depuis la pointe du cap sauvage, une branche du sentier littoral remonte vers l’ermitage de la Trinité.
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Cala di Paragan
Sous le Capu di Fenu, Paragan marque une frontière géologique : le granite disparaît pour laisser place au calcaire du plateau bonifacien.