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Les grèves du plateau léonard
© Nautisme-Finistère
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La côte aux alentours de Brignogan.
De part et d’autre de l’anse de Brignogan, le plateau léonard s’avance dans la mer sous la forme d’une multitude d’îlots et d’écueils. Mais ces paysages qui peuvent prendre des allures fantastiques à marée basse sont menacés par un mitage de constructions. On peut évaluer sur cette photo aérienne son impact sur ce pays plat et peu boisé.
© Dreal Bretagne, Atlas des sites classés du Finistère
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Rochers de Groac’h Zu au large de Cléder.
Les chaos rocheux s’avançant dans la mer sont l’un des motifs récurrents des grèves du plateau léonard. Si leurs profils varient selon les granites dont ils sont constitués, ils présentent des formes pittoresques qui, pour certains d’entre eux, ont justifié au début du XXe siècle leur classement au titre de la loi de 1930 : Roc’h Vran et Roc’h Velen, Rochers de la Villau, Rochers de Kerlouan, etc.
© Y. Le Gal
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Rocher émergeant des dunes de Keremma sur le littoral entre Plouescat et Goulven, 2011.
Pelouses, cordons dunaires et plages de sable fin cohabitent sur le ruban de plusieurs kilomètres de long des dunes de Keremma. Derrière cet ensemble dunaire parmi les plus importants de la côte bretonne, s’étend un espace de marais asséchés au XIXe siècle. L’ensemble est protégé par le Conservatoire du littoral pour sa richesse écologique et paysagère.
© Nautisme-Finistère
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Le marais du Curnic.
La côte du Léon présente de beaux paysages de marais, comme ci-dessus celui de Curnic sur le territoire de la commune de Guissény. Sur plus d'une centaine d'hectares entre le port de Trésseny et la plage du Vougo, il déploie prairies, landes humides, saulaies, étangs et roselières. Polder né de la construction d’une digue en 1836, il est aujourd’hui un site privilégié pour les oiseaux nicheurs et migrateurs.
© Office du tourisme de Lesneven
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Le marais du Curnic.
La côte du Léon présente de beaux paysages de marais, comme ci-dessus celui de Curnic sur le territoire de la commune de Guissény. Sur plus d'une centaine d'hectares entre le port de Trésseny et la plage du Vougo, il déploie prairies, landes humides, saulaies, étangs et roselières. Polder né de la construction d’une digue en 1836, il est aujourd’hui un site privilégié pour les oiseaux nicheurs et migrateurs.