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Le cap Sizun, la fin d’un continent
© B Biache
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La pointe du Van.
Depuis la pointe du Van, vue sur l’enchaînement des découpes du plateau granito-schisteux de la côte nord du cap Sizun.
© Y. Le Gal
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La pointe du Millier, 2009.
© Y. Le Gal
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La pointe de Penharn, 2012.
Hauts éperons granitiques qui avancent sur la mer, pelouses rases et landes fleuries, criques aux eaux émeraude, fracas des vagues… Parfois, quelques traces de bâti (lavoirs, murets de pierres) complètent des éléments naturels qui, dans leurs nombreuses déclinaisons, créent les caractères des paysages de la côte nord du cap Sizun. Souvent difficile d’accès, le bas des falaises peut cacher de petits ports, comme celui de l’anse de Brézellec.
© Y. Le Gal
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La pointe du Raz, 2013.
Vue sur le phare de la Vieille depuis la pointe du Raz, avec à l’horizon la silhouette de l’île de Sein.
© Dreal Bretagne, Atlas des sites classée du Finistère
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La côte nord de l’île de Sein.
La pointe du Raz et l’île de Sein font partie des sites les plus emblématiques de cette partie de côte finistérienne. Tous deux sont classés au titre de la loi de 1930. En outre, la pointe du Raz bénéficie du label Grand Site de France. À peine élevée de quelques mètres (6 m au point le plus haut) au-dessus de la surface de la mer, l’île de Sein conserve des vestiges (murets de pierre) d’une agriculture aujourd’hui abandonnée. L’enfrichement par la fougère aigle pèse sur l’intégrité des paysages de l’île, que quelques résidences secondaires dispersées viennent parfois déparer.
© R. Depardon /Cdl
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La pointe du Raz, 1991.
Entre 1991 et 2001, le Conservatoire du littoral a commandé à Raymond Depardon une série de photographies sur le site de la pointe du Raz. Parmi les photos produites, ces deux images abandonnent les motifs des falaises déchiquetées pour mettre en scène les rapports qu’entretient l’homme avec l’espace du cap malgré son inhospitalité. À gauche, un banc face au panorama met en abîme la notion même de paysage (ce qui est regardé) ; à droite, les lignes de ganivelles, installées sur la plage de la baie des Trépassés par le Conservatoire du littoral pour la protéger du piétinement, répondent en miroir à celles dessinées par les vagues.
© R. Depardon /Cdl
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La baie des Trépassés, 2001.
Entre 1991 et 2001, le Conservatoire du littoral a commandé à Raymond Depardon une série de photographies sur le site de la pointe du Raz. Parmi les photos produites, ces deux images abandonnent les motifs des falaises déchiquetées pour mettre en scène les rapports qu’entretient l’homme avec l’espace du cap malgré son inhospitalité. À gauche, un banc face au panorama met en abîme la notion même de paysage (ce qui est regardé) ; à droite, les lignes de ganivelles, installées sur la plage de la baie des Trépassés par le Conservatoire du littoral pour la protéger du piétinement, répondent en miroir à celles dessinées par les vagues.
© nature.ouest-cornouaille
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Sur la côte méridionale du cap, la plage de Trez Ar Goarem.
© nature.ouest-cornouaille
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Le débouché de l’estuaire du Goyen à Audierne.
Sur la côte sud du cap, les falaises, plus basses, forment des paysages moins rudes que sur la côte nord. À Trez Ar Goarem, à l’arrière de l’anse de Cabestan, une grande dune de 60 hectares couverte de végétation est protégée par le Conservatoire du littoral. Entre Pont-Croix et Audierne, l'estuaire du Goyen ouvre une autre gamme de paysages du cap. En s’enfonçant dans les terres, il crée une transition entre les paysages côtiers et ceux de la campagne intérieure.