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La mer intérieure, des ambiances et des milieux uniques
© J. Jablonski. Médiathèque de l'architecture et du patrimoine, RMN
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L’île aux Moines, l'arrivée au port et le Golfe du Morbihan vu de l'Ile-aux-Moines.
Depuis la période à laquelle ces photographies ont été prises (certainement au début du XXe siècle), l’Ile-aux-Moines a connu une forte urbanisation. Aujourd’hui, l’agriculture a disparu de l’île et les champs qui autrefois se déversaient jusqu’à la côte en ouvrant de larges vues sur la petite mer sont plus rares. Les conifères plantés au XIXe siècle ont modifié les austères paysages bretons en leur donnant des airs de côte méditerranéenne. Mais leur prolifération (arbres persistants des jardins, des maisons, boisements majoritairement de conifères, de pins maritimes et de cyprès de Lambert) crée tout au long du rivage un front boisé souvent impénétrable à la vue.
© Commons.wikimedia
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Vue panoramique d’un paysage du golfe du Morbihan.
La topographie horizontale du golfe est fermée par les boisements bordant les côtes. À marée basse, les chenaux dessinent de longs rubans reflétant le ciel. Les interventions foncières et paysagères du Conservatoire du littoral permettent de pérenniser ces milieux exceptionnels, tant du point de vue naturaliste que paysager.
© M. Collin, Atlas des paysages du Morbihan
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Ile d’Er Lannic, 2010.
Visibles depuis le nord d’Arzon, les cromlec’h de la petite île d’Er Lannic, qui fait face à la presqu’île de Rhuys, apportent au paysage déjà complexe du golfe une profondeur historique.
© Monique Abbelard
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Cale de la pointe d’Arradon.
© PNR du Golfe du Morbihan
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Les champs ostréicoles du golfe.
Le golfe est également un espace d’activités avec ses ports de plaisance, ses champs ostréicoles ou encore la pêche à pied. Elles participent aussi à la perception de ses paysages.