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Du Grau-du-Roi à Port-Camargue : le littoral urbanisé et balnéaire
© Happolati
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Le port du Grau-du-Roi, 2012.
Organisé autour de l’embouchure du Vidourle et du Vistre, qui ouvre également les communications entre la mer, les étangs et le canal du Rhône à Sète, le port du Grau-du-Roi offre un paysage de front de mer de qualité.
© Wolfgang H.
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Port Camargue, 2009.
L’architecture de Port-Camargue est caractéristique des marinas conçues par Jean Balladur, également architecte de la Grande-Motte, et des grands aménagements du littoral languedocien décidés par l’État à la fin des années 1960 (Mission Racine). En cela, elle compose un paysage urbain très identifiable. La « ville nouvelle » balnéaire construite de toutes pièces entre 1969 et 1985 est devenue le plus grand port de plaisance européen.
© D. Villafruela
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Front de mer du Grau-du-Roi, 2015.
Entre le port du Grau-du-Roi et la marina de Port-Camargue, le littoral camarguais languedocien propose un paysage urbain touristique et balnéaire plus banal. Il contraste à l’ouest avec le vieux port du Grau et son tissu urbain dense, et à l’est avec la plage naturelle et préservée de l’Espiguette qui s’étend à perte de vue, au-delà du département du Gard jusqu’aux Saintes-Maries-de-la-Mer.
© M. Chauvin
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L’étang du Ponant, un espace protégé dominé par la ville, 2017.
Depuis la rive nord de l’étang du Ponant, le paysage surprenant des tours pyramidales de la Grande-Motte (architecte : Jean Balladur), dont les formes, reconnaissables entre toutes, symbolisent l’urbanisation balnéaire de la côte languedocienne. Le bois du Boucanet, en lisière de la ville et en bordure de l’étang, crée une transition presque fantastique entre le monde de la ville et du tourisme et celui du plan d’eau, aire d’accueil des oiseaux.
© Arnaud 25, Wikimedia Commons
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Le Lac de Vouglans
Le lac de Vouglans semble ouvrir une brèche de ciel bleu limpide dans ce paysage escarpé, baigné du vert sombre typique des grands bois de montagnes.