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Les marais estuariens, des îles alluviales, vastes espaces de prairies inondables
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Prairies inondables et roselières de l’île Chevalier, 2016
La lumière du soleil couchant révèle les roselières de l’île Chevalier au dessus de la vaste prairie inondable, vue depuis l’ancienne rive nord de l’estuaire au niveau de l’ancienne carrière du Trou bleu à Lavau-sur-Loire. Y était extrait le granit bleu chargé dans l’ancien port à destination de Nantes et de Saint-Nazaire.
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Étier parcourant une roselière à marée basse, 2008.
L’ensemble du marais estuarien est drainé par un important réseau hydraulique géré  par les syndicats de propriétaires locaux. De nombreuses espèces de poissons (flet, mulet, plie, anguille) s’y épanouissent.
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Canal de la Taillée, vu depuis l’observatoire Kawamata, 2014
Au sud-ouest de Lavau-sur-Loire les marais sont traversés par le canal de la Taillée. Sur son bord, à l’approche de la confluence avec l’étier de Lavau, Tadashi Kawamata a créé un observatoire dans le cadre de la Biennale d’art contemporain « Estuaire » 2007. Celui-ci offre un large panorama sur les marais jusqu’aux reliefs boisés du Sillon de Bretagne au nord, et ceux des coteaux de Retz au sud. L’œuvre vise à renouer le lien disparu entre l’ancien port de Lavau et la Loire ; une passerelle en bois incarne physiquement ce lien retrouvé.
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Vue depuis l’observatoire de Kawamata, 2014
Le regard porte au nord jusqu’au relief boisé du Sillon de Bretagne, qui ferme l’horizon. Au premier plan apparaît l’ancien chenal portuaire de Lavau-sur-Loire, au-delà duquel s’étendent l’île de Lavau et l’île Pipy, protégées par le Conservatoire du littoral.
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Les anciennes îles estuariennes, 2008
Au premier plan, le canal maritime de la Martinière ; au second l’île Massereau se distinguant par ses haies bocagères ; puis Belle-île ; et au fond les grandes cheminées de la centrale thermique de Cordemais. Entre Paimboeuf et la Martinière se déploie un vaste ensemble alluvial composé de plusieurs îles anciennes dont les faibles hauteurs émergent lors des inondations. Celles-ci recouvrent partiellement les parties basses, dont l’île Bernard (la plus au nord sur le rivage) et une grande zone de roselières et prés salés au sud de l’île de la Maréchale, Belle-île et l’île Héret. Au centre, l’île du Massereau redevient une île à l’occasion des hautes crues. Le Conservatoire du littoral est propriétaire de l’île de la Maréchale et acquiert progressivement de nouveaux espaces sur ce territoire.
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Ile Massereau, 2006.
Différents gradients de salinité et d’humidité fluctuant au rythme des marées créent de multiples habitats abritant une important richesse floristique et faunistique.
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Prés salés inondés au sud-est de l’île Masserau, 2007
Différents  gradients de salinité et d’humidité qui fluctuent au rythme des marées créent de multiples habitats abritant une important richesse floristique et faunistique.
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Canal de Buzay, 2007
À l’est, l’île des Masses et l’île de Bois présentent un maillage de haies bocagères plus dense. Elles sont séparées par le canal de Buzay, dont l’étendue d’eau reflète le ciel et les boisements qui le bordent.
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La Martinière 2007
À l’extrémité est de l’île de Bois, le canal de la Martinière rejoint la Loire, dont il est séparé par une écluse. Au nord s’étendent les prés salés de l’île Thérèse. Les boisements de l’île Ville-en-Bois apparaissent à l’est, alors que ceux du bocage des marais se déploient au nord.