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A l’intérieur, à l’ouest, des marais salants, et sur la côte au nord-est, des polders cultivés
© Conservatoire du littoral
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Bassins salicoles du marais de Luzeronde, 2013
Le marais de Noirmoutier occupe 1/3 de la surface de l’île et s’étend sous le niveau des plus hautes mers. Il en est séparé sur sa frange est par un cordon dunaire et sur sa frange ouest par une digue qui cloisonnent les vues depuis l’intérieur sur l’horizon marin.
© Conservatoire du littoral
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Pointe du Devin, 2013
Vue sur la mer depuis le cordon dunaire de Luzeronde au niveau de la pointe du Devin fortement soumise à l’érosion marine.
© Conservatoire du littoral
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Le marais de Noirmoutier, 2014
Il présente un paysage largement ouvert. Il se compose d’un enchevêtrement d’étiers, de bassins salicoles et aquacoles entre lesquels les bossis (languettes de terres) sont entretenus par la fauche ou le pâturage extensif.
© Conservatoire du littoral
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Les marais de Mullembourg, 2014
A l’est de Noirmoutier-en-l’Ile, les marais de Mullembourg s’étendent sur une cinquantaine d’hectares. A l’horizon, le bourg de Noirmoutier-en-l’Ile et la digue de Jacobsen ferment le paysage.
© Conservatoire du littoral
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Canal le long de la digue de Jacobsen, 2007
Ancienne vasière, les marais ont été gagnés sur la mer grâce à la digue Jacobsen, du nom de la famille hollandaise qui l’a construite et a importé sur l’île la technique de poldérisation au XVIIIe siècle. Longue de 1600 m elle est longée par un canal.
© Conservatoire du littoral
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Marais salants du Petit Mullembourg, 2015
Les lignes fuyantes des bassins modelés par les sauniers dirigent le regard vers l’horizon boisé.
© Conservatoire du littoral
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Les polders de Sébastopol, 2013
Ils forment une extension de la bande de polders cultivée qui longe la partie de l’île étroite au nord-est. Ils constituent une réserve naturelle régionale accueillant les oiseaux d’eau migrateurs. Ils composent un paysage ouvert délimité par une digue au-dessus de laquelle on peut apercevoir entre quelques pins érigés au sud, le pont qui relie l’île au continent.
© Conservatoire du littoral
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Les polders de Sébastopol, 2013
Au gré des saisons, des nappes d’eau qui se strient ou se tachent de nombreuses nuances de couleurs et matières végétales, révèlent les bassins des anciens salins.
© P. Despoix
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Passage du Gois, 2014 et 2006
Au nord du pont qui relie l’île de Noirmoutier au continent, la chaussée submersible du Gois, accès historique, est encore empruntée et appréciée par de nombreux visiteurs. Le vaste espace marin de la baie de Bourgneuf qu’elle traverse sur 4 km constitue un haut lieu de pêche à pied, de biodiversité marine et de tourisme : un site original en projet de classement au patrimoine mondial de l’UNESCO.
© Pinpin
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Passage du Gois, 2014 et 2006
Au nord du pont qui relie l’île de Noirmoutier au continent, la chaussée submersible du Gois, accès historique, est encore empruntée et appréciée par de nombreux visiteurs. Le vaste espace marin de la baie de Bourgneuf qu’elle traverse sur 4 km constitue un haut lieu de pêche à pied, de biodiversité marine et de tourisme : un site original en projet de classement au patrimoine mondial de l’UNESCO.