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L’embouchure de la Charente, des horizons insulaires et des fortifications
© K. Lebourgeois
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Vue sur l’embouchure de l’estuaire depuis l’île Madame, 2016.
Au premier plan, la rive nord de l’île Madame est ponctuée de carrelets. Dans la lumière à l’horizon, la ville de Fouras et son fort Vauban montrent leurs lueurs calcaires sur la presqu’île de Fouras.
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Ile Madame, 2009.
On accède à l’île Madame depuis Port-des-Barques par la Passe-aux-Bœufs, tombolo de galets découvert à marée basse qui, une fois franchi, ouvre le pas des visiteurs sur une île étendue sur 1 km de long et 600 m de large. Implanté sur sa côte nord-ouest, édifice essentiel dans le dispositif stratégique de protection de l’arsenal de Rochefort, le fort Madame domine l’estuaire. Propriétaire, le Conservatoire du littoral participe à la protection de l’ensemble de l’île.
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Vue depuis l’estran rocheux de la pointe de la Fumée sur le fort Énet à gauche et l’île d’Aix, à droite, 2016.
Au nord de l’île, le fort Liédot a été longtemps laissé à l'abandon et peu à peu envahi par la végétation, avant d’être racheté en 1989 par le Conservatoire du littoral qui en assure aujourd’hui la gestion et la réhabilitation, en collaboration avec la commune de l'Île d'Aix. 26 hectares d’espaces naturels majoritairement boisés se trouvent également protégés autour du fort.
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Estran de l’île d’Aix, 2015.
Face à l’océan, les platiers rocheux dressent leur faible relief en contraste avec l’estran fait de roches friables et de petites plage, face à l’embouchure de l’estuaire. Depuis la pointe du fort Liédot jusqu’à la pointe du fort de la Rade (ou pointe Sainte-Catherine) au sud, un vaste estran vaseux animé par des activités de pêche se découvre à marée basse.
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Estran de l’île d’Aix, 2009.
Face à l’océan, les platiers rocheux dressent leur faible relief en contraste avec l’estran fait de roches friables et de petites plage, face à l’embouchure de l’estuaire. Depuis la pointe du fort Liédot jusqu’à la pointe du fort de la Rade (ou pointe Sainte-Catherine) au sud, un vaste estran vaseux animé par des activités de pêche se découvre à marée basse.
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Fort de la Pointe.
Le fort de la Pointe protège l’embouchure de l’estuaire de la Charente sur sa rive droite, parcourue de fossés, et fait face à Port-des-Barques qui apparaît en arrière-plan sur la rive gauche. Construit en 1672, il est le premier fort à protéger l’arsenal maritime rochefortais.
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Fort Lupin, 2009.
Vers l’intérieur des terres, en rive gauche, l’architecture ronde et imposante du fort Lupin contraste avec la légèreté effilée des carrelets à ses côtés. Depuis le célèbre fort Boyard au large jusqu’au fort Lupin, dix forts jalonnent le paysage de l’embouchure de l’estuaire, témoins de l’importance de son rôle stratégique passé.