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La baie d’Yves et le marais nord de Rochefort
© K. Lebourgeois
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Anse de Fouras, 2017.
Le relief d’une ancienne dune offre une vue dégagée sur la baie d’Yves au loin. La presqu’île de Fouras, à gauche, et l’île d’Aix, en face, surlignent l’horizon.
© K. Lebourgeois
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Anse des Boucholeurs depuis la falaise de la pointe du Rocher, 2017.
Derrière la plage s’étend la réserve naturelle du marais d’Yves. À marée basse, la mer découvre un vaste estran vaseux. À marée haute, elle rejoint les plages de sable, de galets et de débris de coquilles calcaires où sont implantés plusieurs carrelets.
© ML. Cayatte RN du marais d'Yves
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Réserve naturelle du marais d’Yves, 2015.
Derrière l’anse des Boucholeurs, un cordon dunaire – sur lequel passe la D137 – enferme les eaux saumâtres d’une lagune, refuge de nombreuses espèces d’oiseaux. Elle constitue avec les marais qui la jouxtent la réserve naturelle du marais d’Yves. Créée et gérée depuis 1981 par la Ligue pour la Protection des Oiseaux, celle-ci s’étend sur 194 hectares, dont une partie appartient au Conservatoire du littoral.
© ML. Cayatte, RN du marais d'Yves
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Réserve naturelle du marais d’Yves, 2015.
Derrière l’anse des Boucholeurs, un cordon dunaire – sur lequel passe la D137 – enferme les eaux saumâtres d’une lagune, refuge de nombreuses espèces d’oiseaux. Elle constitue avec les marais qui la jouxtent la réserve naturelle du marais d’Yves. Créée et gérée depuis 1981 par la Ligue pour la Protection des Oiseaux, celle-ci s’étend sur 194 hectares, dont une partie appartient au Conservatoire du littoral.
© K. Lebourgeois
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Loire-les-Marais, fossé, 2017.
Les fossés drainant le marais nord de Rochefort créent une rupture dans l’uniformité des champs cultivés ou longent les routes bordées de roseaux et d’autres végétations aquatiques.
© K. Lebourgeois
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Canal de Charras, 2017.
Au nord-ouest, à l’approche des légers coteaux d’Aunis délimitant le marais, le paysage présente une trame bocagère et boisée marquée par le passage du canal de Charras. Au XVIIe siècle, le creusement des canaux de Charras, de Ciré, de Rochefort, de la Daurade, de Saint-Louis ou de Genouillé et un savant quadrillage des fossés ont permis de drainer les marais vers l’estuaire de la Charente.
© K. Lebourgeois
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Breuil-Magné, 2017.
Les hauteurs des anciennes îles de Breuil-Magné (à l’est), de Fouras (à l’ouest) et les côtes de la Lance et de Liron (au nord), apparaissent à l’horizon au-dessus des champs cultivés. Selon les points de vue, les lignes discrètes des fossés se dévoilent ou restent dissimulées.