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De la pointe de Gatseau à celle de Chassiron, à l’est, une côte ostréicole et des paysages en continuité avec ceux du continent
© Albatros-hotel.com
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Le Grand-Village-Plage.
Dans les marais du Grand-Village-Plage bordant la forêt domaniale de Saint-Trojan, le chenal rejoint Le Petit-Village où habitations et cabanes ostréicoles se côtoient.  
© foyerrurallegrandvillage.com
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Le Château-d’Oléron, plate ostréicole.
Embarcation caractéristique du paysage du bassin, une plate stationne à l’embouchure d’un chenal alimentant les marais ostréicoles intérieurs, entre Saint-Trojan-les-Bains et Le Grand-Village-Plage. Au sud, le pont d’Oléron se détache, trait d’union avec le continent.
© W. Scot
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Citadelle du Château-d’Oléron, 2004.
Entre les rives du coureau d’Oléron et celles du Moulin de la Côte, protégées par le Conservatoire du littoral, la citadelle du Château-d’Oléron se dresse face à la côte continentale, tantôt flottante sur la mer, tantôt posée sur la vase, au grès des marées.
© Idaho69
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Côte entre le Château-d’Oléron et Boyardville, 2005.
La spartine et la salicorne végétalisent l’estran vaseux, qui se dénude progressivement, en fonction du niveau d’eau, vers le large.
© CREN Poitou Charente
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Marais d’Oléron, 2012.
Entre la forêt domaniale des Saumonards et celle de Saint-Trojan, les marais d’Oléron s’étendent sur 20 % de la surface de l’île, jusqu’à des horizons lointains où cohabitent quelques maigres haies, des cabanes, des bâtiments et des lignes électriques. Ces anciens marais salants aujourd’hui exploités pour l’ostréiculture et l’élevage se composent de prairies humides, de fossés et d’anciens bassins devenus pour la plupart des dépressions plus ou moins inondées et végétalisées. Entre les communes de Saint-Pierre-d’Oléron et de Saint-Georges-d’Oléron, le Conservatoire du littoral contribue au maintien des activités traditionnelles agricoles afin d’entretenir les parcelles éloignées du rivage, les plus fragiles face au déclin ostréicole et à l’enfrichement. Les claires encore fonctionnelles sont confiées à des conchyliculteurs dans le but d’y maintenir une activité de production.
© Conservatoire du littoral
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Fort Royer, réserve de Moëze-Oléron, 2009.
Entre Boyardville et le Château-d’Oléron, le site ostréicole et naturel de Fort-Royer aligne les cabanes ostréicoles sur la façade maritime. Cette zone ostréicole en bordure de rivage fait partie de la réserve naturelle de Moëze-Oléron.
© Conservatoire du littoral
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Chenal de la Perrotine, 2009.
Canalisé au niveau de son embouchure à Boyardville, où règne une ambiance plaisancière, le chenal de la Perrotine est l’un des principaux chenaux qui serpentent dans la mosaïque de bassins ostréicoles en activité sur cette partie de l’île.
© Cobber17
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Boyardville, 2010.
La plage des Saumonards offre une vue privilégiée sur le large, l’île d’Aix et le fort Boyard semblant à portée de main.
© Conservatoire du littoral
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Marais du Douhet, au nord de Saint-Georges-d’Oléron, 2008.
Le marais du Douhet s’étend derrière un cordon dunaire boisé et urbanisé. Afin d’éviter l’enfrichement et la profusion d’espèces invasives, le Conservatoire du littoral favorise la réinstallation d’éleveurs bovins. À l’est, la forêt Briquet, extension de la forêt domaniale des Saumonards et propriété du Conservatoire du littoral, limite l’urbanisation.
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Marais du Douhet, au nord de Saint-Georges-d’Oléron, 2008.
Le marais du Douhet s’étend derrière un cordon dunaire boisé et urbanisé. Afin d’éviter l’enfrichement et la profusion d’espèces invasives, le Conservatoire du littoral favorise la réinstallation d’éleveurs bovins. À l’est, la forêt Briquet, extension de la forêt domaniale des Saumonards et propriété du Conservatoire du littoral, limite l’urbanisation.