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Un estuaire, des chenaux et des bassins ostréicoles inondés et endigués
© Tux-Man
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Vue sur l’estuaire de la Seudre depuis le viaduc à la Tremblade, 2016.
© Conservatoire du littoral
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En contrebas du viaduc, le marais de Brandelle.
La Seudre est enjambée à son embouchure par un viaduc qui relie Marennes en rive droite à la Tremblade en rive gauche, et offre une vue en surplomb sur l’estuaire. En contrebas, sur la rive gauche, le marais de Brandelle, zone de claires et de sartières (prés salés), a gardé une structure de marais très ancienne. Plat et ouvert, le paysage dégage une vue lointaine sur les coteaux de Marennes, d’où émerge le clocher de l’église.
© sageseudre.fr
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Chenal de Marennes à la Cayenne, 2016.
© JLPC
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Port de La Cayenne, 2014.
Sur la rive droite, au niveau de l’embouchure de la Seudre, le port de La Cayenne est l’un des principaux ports ostréicoles de l’estuaire avec celui de La Grève, sur la rive gauche, à la Tremblade. Ils se situent aux embouchures des deux chenaux canalisés de Marennes et de La Tremblade, bordés de pontons et de cabanes ostréicoles peintes de couleurs vives.
© kayakalo
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Chenal de Pelard, Port Paradis, bateau ostréicole.
© Droop
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Claires, bassins ostréicoles, 2016.
Outre l’affinage des huîtres, les ostréiculteurs entretiennent le réseau hydraulique et les bassins afin d’éviter l’envasement et l’enfrichement progressif du marais. Ils participent ainsi à la préservation de l’identité paysagère et au fonctionnement écologique de leur lieu d’activités.
© Conservatoire du littoral
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Marais endigués en amont de l’estuaire, au niveau de l’Éguille, 2006.
Structurés par la géométrie des bassins endigués et des routes, le marais s’étend à perte de vue vers le large. Seules émergent les cabanes ostréicoles au-dessus de l’horizon.