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L’étang de Bages : une avancée dans la plaine de Narbonne
© Monique Chauvin
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Narbonne, Le grand Castelou, 2007.
Déployée entre la rive orientale de l’étang de Bages et la montagne de la Clape à l’est, la basse plaine marécageuse a été en partie drainée et dessalée à la fin du XIXe siècle pour être cultivée. Aujourd’hui, ce paysage horizontal, cadré par les Corbières et empli des couleurs des sansouïres et des roselières, est en bonne partie sous la protection du Conservatoire du littoral, qui veille à y développer la biodiversité
© Brigitte, Flickr
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Bages, l’étang, 2010.
Depuis le village de Bages, la vue s’ouvre largement vers le nord. La vaste étendue de l’étang est contenue dans des anses dessinées par des terrasses et les premiers contreforts des Corbières. Un paysage à la géométrie douce, mais que viennent contredire souvent la rudesse du vent, l’éclat de la lumière et l’envolée des températures estivales.
© Conservatoire du littoral
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Bages, la rive occidentale de l’étang, vers la source de Bajole, 2016.
Au nord du village, la rive est parsemée de sources et parcourue d’un réseau dense de ruisseaux, descendant des dernières collines des Corbières et contribuant à la diversité des reliefs qui cadrent l’étang.
© WikiCC
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Bages, panorama sur le village et l’étang, 2010.
Le village fortifié de Bages, perché sur son promontoire rocheux, est un repère dans le paysage de l’étang. À l’horizon, les reliefs de la montagne de la Clape identifient le paysage de cette partie des étangs narbonnais.
© Monique Chauvin
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La Nautique ; Bages, 2007
L’étang est aussi un lieu d’activités : nautisme, sports de glisse et pêche traditionnelle animent la surface du plan d’eau.
© Monique Chauvin
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La Nautique ; Bages, 2007.
L’étang est aussi un lieu d’activités : nautisme, sports de glisse et pêche traditionnelle animent la surface du plan d’eau.