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De Gruissan à Port-la-Nouvelle : des salins et un lido changeants
© Conservatoire du littoral
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/ Port-la-Nouvelle, les salins de Sainte-Lucie, 2009.
Les salins de Sainte-Lucie sont intégrés à la réserve naturelle régionale. Leur exploitation abandonnée par les Salins du Midi en 2005, ils sont rachetés par le Conservatoire du littoral deux ans plus tard. Constitués de plus de 300 hectares à fleur d’eau, ils offrent un grand paysage à la fois naturel et industriel (digues, martelières) entre le canal de la Robine et la mer.
© Conservatoire du littoral
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Port-la-Nouvelle, les salins de Sainte-Lucie, 2007.
Les salins de Sainte-Lucie sont intégrés à la réserve naturelle régionale. Leur exploitation abandonnée par les Salins du Midi en 2005, ils sont rachetés par le Conservatoire du littoral deux ans plus tard. Constitués de plus de 300 hectares à fleur d’eau, ils offrent un grand paysage à la fois naturel et industriel (digues, martelières) entre le canal de la Robine et la mer.
© Conservatoire du littoral
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Vue sur les installations industrielles de Port-la-Nouvelle depuis les salins, 2011.
Les salins de Sainte-Lucie jouxtent le port pétrolier, aujourd’hui en voie d’agrandissement.
© Monique Chauvin
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Port-la-Nouvelle, 2007.
Depuis les hauteurs coiffées d’éoliennes, la vue embrasse le port, le silo, repère vertical sur l’horizontalité du rivage, (Port-la-Nouvelle est le premier port céréalier français), les salins et la mer.
© Monique Chauvin
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Port-la-Nouvelle, la grande plage de sable et ses constructions balnéaires, 2007
© Monique Chauvin
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Port-la-Nouvelle, le port de pêche côtière, 2007.
Lieu d’un tourisme balnéaire populaire, la ville jouit d’un site attachant entre les deux grands épisodes de paysages naturels des salins de Sainte-Lucie et de l’étang de la Palme. Les activités de pêche côtière créent également un paysage urbain vivant aux portes du port industriel.