1 / 6
Les îles d’Or : un nuancier de nature méditerranéenne
© Parc national de Port-Cros
2 / 6
L'arrière-pays de Bormes-les-Mimosas. Au loin, les îles d'Or, 2010.
Les îles d’Or à l’horizon, sur la mer, sont des composantes indissociables du paysage de la rade et de son arrière-pays cultivé et boisé.
© COnservatoire du littoral
3 / 6
Ile de Porquerolles, depuis l'extrêmité ouest, vue sur le fort du Petit Langoustier, la presqu'île de Giens et, au loin, sur le mont Faron/
Le paysage des îles, ici Porquerolles (site classé au titre de la loi de 1930 depuis 1988), entre en résonance avec ceux de la presqu’île de Giens et du continent par les vues qu’ils offrent les uns sur les autres. Les forts, les batteries, les phares et les sémaphores constituent un patrimoine bâti important, qui scande les crêtes et les pointes de la côte.
© Terra
4 / 6
Ile de Porquerolles, 2007.
© COnservatoire du littoral
5 / 6
Port de Port-Cros
Deux images qui montrent le paradoxe des paysages des îles d’Or : une nature exceptionnelle car depuis longtemps protégée, mais des paysages soumis à une pression touristique intense (plus d’un million de visiteurs l’été) qu’il est nécessaire de maîtriser. L’île de Port-Cros est classée au titre de la loi de 1930 et est sous la protection du Parc national de Port-Cros, créé en 1963.
© Terra
6 / 6
Ile de Porquerolles, 2007.
Côtes rocheuses et criques aux eaux bleu turquoise et transparentes, surmontées par les silhouettes de grands pins : telles sont les images les plus courantes des paysages des îles d’Or. Pourtant, à Porquerolles, vignes, arboriculture et maraîchage sont encore bien présents. Encouragée à la fois par le Parc national de Port-Cros et le Conservatoire du littoral, cette agriculture diversifie le paysage boisé et permet d’ouvrir de grandes fenêtres sur la mer et la côte hyéroise.