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L’agglomération d’Évian-Thonon
© Laurent Mignaux – Terra, MTE
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Évian vue depuis le lac, 2009.
À l’est de l’agglomération dans les environs d’Évian, l’urbanisation diffuse – patchwork de pavillons, de lotissements et d’anciennes exploitations agricoles – colonise beaucoup d’espace au détriment des espaces naturels et agricoles. Les constructions très proches de la rive rendent souvent difficile son accès.
© Laurent Mignaux – Terra, MTE
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Évian vue depuis le lac, 2009.
À l’est de l’agglomération dans les environs d’Évian, l’urbanisation diffuse – patchwork de pavillons, de lotissements et d’anciennes exploitations agricoles – colonise beaucoup d’espace au détriment des espaces naturels et agricoles. Les constructions très proches de la rive rendent souvent difficile son accès.
© Norbert Aepli/Noebu, Wikimedia Commons
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Évian-les-Bains, la ville dense vue du lac, 2009.
Ancien bourg fortifié et ville portuaire, Évian est bâtie au bord du lac. L’habitat balnéaire, particulièrement cossu et entouré de parcs boisés, caractérise le paysage de la ville d’eau.
© Cdl
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Publier, parc du Miroir et parc des Dranse, 2015.
À l’est de l’embouchure de la Dranse, un parc et un espace public ont été aménagés sur les terrains d’anciennes propriétés privées et de l’État affectés au Conservatoire du littoral en 2010. La rive du lac est depuis redevenue accessible pour le bénéfice de tous.
© Cdl
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Publier, parc du Miroir et parc des Dranse, 2013.
À l’est de l’embouchure de la Dranse, un parc et un espace public ont été aménagés sur les terrains d’anciennes propriétés privées et de l’État affectés au Conservatoire du littoral en 2010. La rive du lac est depuis redevenue accessible pour le bénéfice de tous.
© Cdl
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L’embouchure de la Dranse, 2008.
L’embouchure de la Dranse constitue l’un des derniers espaces naturels du rivage du lac Léman. Avec les parcs aménagés à l’est, elle constitue une grande coupure dans l’urbanisation quasi continue des rives du Léman depuis Évian. Cette zone humide et marécageuse au nord, de landes sèches et caillouteuses au sud, est protégée par une réserve naturelle nationale. Riche de près de 800 espèces végétales, dont 23 d’orchidées, elle est aussi une étape importante pour de nombreux oiseaux migrateurs.
© Patrick Nouhailler's, Panoramio
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Thonon-les-Bains, Port-Ripaille, 2012.
Entre la réserve naturelle de la Dranse et le site classé du domaine de Ripaille à l’ouest, la marina de Port-Ripaille (550 logements) a investi dans les années 1980 un grand territoire boisé de 33 hectares en bord de lac, autrefois partie intégrante du domaine. L’ensemble immobilier, privé, interdit l’accès à pied au rivage du Léman.
© Pymouss44, Wikimedia Commons
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Thonon-les-Bains, Domaine de Ripaille, 2008.
Site classé au titre de la loi de 1930, le domaine de Ripaille crée une franche coupure d’urbanisation dans l’agglomération d’Évian-Thonon. D’une étendue de 139 hectares, il comprend un château dont l’origine remonte au XIVe siècle, et est entouré de vignes, de vergers et d’un parc. Une forêt et un arboretum occupent l’espace restant. Le long du lac, une bande boisée de plus de 2 km de longueur correspond à une partie du GR du littoral du Léman. De nombreux belvédères sur le lac et sur la rive suisse y sont aménagés.
© Patrick Nouhailler's, Panoramio
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Les paysages ruraux de l’agglomération d’Évian-Thonon, 2012.
La campagne bocagère installée sur les terrasses du Léman caractérise les paysages des abords du lac vers Thonon. Mais les constructions disséminées tendent à la déstructurer.