1 / 6
La vallée du Laudon et le balcon des Bauges
© Wikimedia commons
2 / 6
L’agglomération de Saint-Jorioz depuis les hauteurs du Roc des Bœufs, 2005
La dépression de la vallée du Laudon est close par le versant très boisé de la montagne du Semnoz dans le massif des Bauges, balcon naturel sur le lac. Dans la vallée, l’habitat diffuse depuis la rive du lac et les centres des bourgs anciens de Veyrier et Saint-Jorioz vers l’amont de la rivière, et remonte les pentes les moins raides du massif des Bauges. Les espaces agricoles et naturels ouverts tendent, sous cette pression, à se banaliser et à se morceler.
© B. Brassoud, wikimedia commons
3 / 6
Duingt depuis les pentes du Taillefer, 2015
La presqu’île de Duingt achève au sud la rive occidentale du « Grand lac ». Elle alterne zones d’habitat diffus, parcelles cultivées bordées d’arbres et espaces boisés, lotissements, le tout créant un paysage parfois en perte d’identité.
© Cdl
4 / 6
Saint-Jorioz ; Sevrier, Marais de l’Enfer, 2009
Le marais de l’Enfer correspond à une coupure naturelle et agricole de première importance sur cette partie de la rive occidentale du lac d’Annecy. La roselière dont l’accès a été récemment aménagé via une digue restaurée offre de micro-paysages où s’entremêlent la terre et l’eau.
© Cdl
5 / 6
Saint-Jorioz ; Sevrier, Marais de l’Enfer, 2009
Tournant le dos à la rive, le marais  s’ouvre sur le paysage des sommets du massif des Bauges.
© Cdl
6 / 6
Saint-Jorioz ; Sévrier, Marais de l’Enfer, 2009
L’agriculture a façonné les paysages du cône de  la basse vallée du Laudon. Les terres cultivées -  ici des vergers protégés par le Conservatoire du littoral -  sont relictuelles, à la périphérie de l’agglomération d’Annecy. La pression de l’urbanisation s’y exerce de manière forte, sous la forme, comme on le perçoit ici en lisière - de constructions individuelles éparses aux façades orientées vers le lac.