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Entre falaises, savane et vergers, du cap La Houssaye aux Aigrettes
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Savane du Cap La Houssaye et urbanisation des hauts de Saint-Paul, Saint-Paul, 2015
Les trois plans de l’image nous montrent trois états de dégradation de la savane du cap La Houssaye. Au premier plan, une savane herbeuse dont l’état « originel » est préservé. Au deuxième plan, une savane dégradée, devenue arbustive sous l’invasion d’espèces exotiques épineuses. Au dernier plan, l’urbanisation des hauts plateaux facilitée par la route des Tamarins. Hors périmètre protégé par le Conservatoire du littoral, la surface de la savane continue à diminuer sous la pression urbaine.
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Cap La Houssaye et rivage de Boucan Canot, 2017
S’avançant dans l’océan au centre, le cap La Houssaye fait onduler sa savane dorée. Ses falaises littorales prennent des hauteurs variables au gré des ravines qui traversent la savane. A droite, le village balnéaire de Boucan Canot s’est installé au creux d’une anse et d’un vallon dominé par le piton Bienvenue. Derrière, la longue pente du Grand Bénare dessine un relief doux et régulier.
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Savane du Cap La Houssaye depuis Plateau Caillou, Saint-Paul, 2015
Depuis l’intérieur des terres, on contemple mieux l’ampleur de la savane. Vallonnée et au rivage étroit, la savane du Cap La Houssaye est l’une des dernières reliques de ce paysage couvrant autrefois tout l’Ouest de La Réunion, de 0 à 300 m d’altitude. Depuis 2009, elle est traversée par la route des Tamarins (RN1), au centre, ayant grandement facilité les liaisons entre le Nord, l’Ouest et le Sud de l’île.
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Savane du Cap La Houssaye, Saint-Paul, 2003
Sur ses plateaux, l’herbe ondule au vent sur de vastes surfaces lumineuses, dorées en saison sèche, vertes en saison des pluies. Dans les vallons, plus frais et plus humides, arbres et arbustes créent des fourrés ombragés. Mais avec la déprise du pâturage extensif et des brûlis, que le Conservatoire du littoral s’efforce de remettre en place, la savane résiste difficilement à la fermeture du paysage par les arbustes épineux appelés « zépinards ».
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Ravine Petite Anse au Cap La Houssaye, Saint-Paul, 2015
Sur ses plateaux, l’herbe ondule au vent sur de vastes surfaces lumineuses, dorées en saison sèche, vertes en saison des pluies. Dans les vallons, plus frais et plus humides, arbres et arbustes créent des fourrés ombragés. Mais avec la déprise du pâturage extensif et des brûlis, que le Conservatoire du littoral s’efforce de remettre en place, la savane résiste difficilement à la fermeture du paysage par les arbustes épineux appelés « zépinards ».
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Vallon cultivé de vergers à Piton Bienvenue, Saint-Paul, 2015
Entre la savane du Cap La Houssaye et la Ravine Saint-Gilles, les vallons du Piton Bienvenue sont cultivés de vergers de mangues, de piments, de fruits de la passion, etc. Telle une oasis au milieu du désert, ce paysage bucolique demeure presque insoupçonné.
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Village balnéaire de Boucan Canot vu depuis le cap Champagne, Saint-Paul, 2015
Depuis le rivage, la station balnéaire de Boucan Canot remonte vers les vallons cultivés du Piton Bienvenue. Prémices au lagon, la côte forme ici trois anses de sable blanc entre le Cap La Houssaye, le Cap Boucan Canot, le Cap Homard et la Pointe des Aigrettes.