1 / 7
Une agglomération dense, ponctuée de huis-clos jardinés
© E. Hamel
2 / 7
Cherbourg vue depuis la montagne du Roule.
Témoins de la tradition horticole et botanique qui a en partie façonné la ville au XIXe siècle, les parcs et jardins cherbourgeois piquent de leurs écrins verts le dense tissu urbain, partagé entre les maisons et immeubles anciens et l’urbanisation moderne des grands ensembles sur le chemin d’Octeville et des communes périphériques.
© JMEnault, Wikimedia Commons
3 / 7
Conçu en 1885, le parc Emmanuel Liais propose, sur une surface d’un hectare, une tour observatoire et deux serres abritant plus de 4 000 espèces rares, qui lui ont valu une reconnaissance nationale avec le classement « Jardin remarquable ».
© R. Godefroy Wikimanche
4 / 7
Le jardin Montebello voit le jour en 1872 sous l’impulsion de la Société d'horticulture locale, qui le réserve d’abord à ses membres.
Aujourd’hui ouvert au public, il abonde en essences exotiques, à l’image des autres jardins de Cherbourg conçus à la même époque.
© Cdl
5 / 7
Anciennement nommé « Jardin Favier » en référence à son créateur Alfred Favier, le parc de la Roche Fauconnière est un vaste parc conçu en 1870, juché sur le rocher de la Fauconnière, falaise morte surplombant Cherbourg.
Inscrit en partie au titre des Monuments historiques, il a fait l’objet d’une acquisition par le Conservatoire du littoral en 2011.
© Cdl
6 / 7
Anciennement nommé « Jardin Favier » en référence à son créateur Alfred Favier, le parc de la Roche Fauconnière est un vaste parc conçu en 1870, juché sur le rocher de la Fauconnière, falaise morte surplombant Cherbourg. Inscrit en partie au titre des Mon
Inscrit en partie au titre des Monuments historiques, il a fait l’objet d’une acquisition par le Conservatoire du littoral en 2011.
© Morburre, Wikimedia Commons
7 / 7
Situé sur la commune de Tourlaville, le Château des Ravalet et son parc composent un vaste domaine de 18 hectares, propriété de la ville de Cherbourg depuis 1935.
Son ensemble de jardins a été repensé et aménagé par le paysagiste Gilles Clément. Le domaine et sa serre sont classés au titre des Monuments historiques en 1996, tandis que le parc a obtenu le label « Jardin Remarquable » en 2004.