Vue depuis le Grand Phare, sur la butte de la Petite Foule
L’ancien parcellaire agricole du secteur est encore lisible malgré l’évolution de la végétation spontanée. En 1951, les cultures s'étendaient sur environ 48 % du territoire insulaire (1 100 hectares sur les quelque 2 300 que compte l’île). En 2011, ce sont moins de 4,5 % qui restent encore cultivées, le reste ayant évolué vers un état de friche ou de terrains gagnés par l’urbanisation dans la mesure où la vente des terres cultivées ou pâturées se fait au profit de la construction de maisons avec un impact non négligeable sur la surface agricole de l’île.