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Du cap Bénat à la presqu’île de Saint-Tropez : une conurbation pavillonnaire dans le décor boisé des Maures
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Bormes-les-Mimosas, Baie du Gau, 2015.
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Le Lavandou, embouchure du Batailler, 2015.
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Le Lavandou, Plage de Saint-Clair.
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Rayol-Canadel-sur-Mer : la plage du Rayol.
Les constructions occupent les premières pentes des Maures et les vallons les moins escarpés. Les ambiances de villégiature dominent. Elles varient en fonction de la proximité de la mer, l’importance de la végétation arbustive et des boisements. La taille des parcelles et la qualité des architectures caractérisent également cette partie de côte urbanisée.
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Le Lavandou, les collines et l’anse de Cavalière, 2013.
Au-dessus de la grande anse formée par la pointe du Layet à l’ouest et le cap Nègre à l’est, les collines boisées de Cavalière apportent une grande respiration dans le paysage littoral urbanisé. Sur les versants et sur d’anciennes restanques, une végétation thermophile, des chênes, des pins et des plantes exotiques (mimosa, eucalyptus…) se développent dans des conditions idéales et favorisent la variété des ambiances du rivage des Maures.
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Situé dans la commune de Rayol-Canadel-sur-Mer, l’hôtel de la Mer et le jardin des Méditerranées du Domaine du Rayol.
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Cavalaire-sur-Mer, colline de la Nasque et villa Foncin, 2015.
Ces deux constructions et leurs jardins symbolisent la côte des Maures et les grandes propriétés bourgeoises et aristocratiques construites à la fin du XIXe et au début du XXe siècle sur la Côte d’Azur. Ces sites particulièrement remarquables appartiennent désormais au Conservatoire du littoral, qui travaille avec ses partenaires à leur restauration, à leur conservation et à la mise en œuvre de projets d’aménagement contemporains, à l’image du jardin des Méditerranées du domaine du Rayol, confié au paysagiste Gilles Clément).
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La Corniche des Maures, 2010.
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La vue sur les îles du Levant depuis la pointe de la Nasque et la villa Foncin, 2016.
Entre la plage du Rayol et le cap de la Vigie à Cavalaire-sur-Mer, un grand espace non urbanisé s’étend vers les terres jusqu’à la crête des Maures. Ce grand espace de chênaie et de maquis protégé par un site classé au titre de la loi de 1930, continuité paysagère entre le rivage et le massif, est exceptionnel à l’échelle du littoral varois.
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La baie de Cavalaire, 2008.
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Sur la baie, la plage de la Douane ou du Débarquement, 2015.
La baie de Cavalaire située entre les caps Cavalaire à l’ouest et Lardier à l’est, est intensément marquée par la première ligne de relief des Maures, dont le long versant concave s’expose à l’arrière du littoral. En vue rapprochée, les Maures se font toujours plus présentes. Le contraste entre les versants bâtis et ceux restés vierges de toute construction est ici particulièrement frappant, comme l’impact visuel (contraste entre les teintes claires des maisons et le foncé de la végétation) des lotissements.