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De la Trinité à...
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305_S1 La Trinité
La Trinité avant l’arrivée sur les escarpements de la Caravelle, offre une urbanisation héritée de l’industrie cannière, mais aussi de l’urbanisation béton des années 50 et 60. Elle doit aussi son importance à la route qui la relie à Fort de France, la capitale martiniquaise. Néanmoins, elle offre encore une plage de sable à ses riverains.
© nomadeenmer
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305_S1 Rocher Caravelle
A la fois prolongement de la presqu’île mais entrecoupé par les ressacs de l’Atlantique, le Rocher de la Caravelle appartient au territoire de la Trinité. Dépourvu de végétation, il est protégé pour l’avifaune marine qu’il abrite, comme par exemple les frégates, oiseaux de mer légers qui marchent mal mais sont capables de voler très longtemps, et ne peuvent décoller d’une surface plane, ou encore les queues en ciseau.
© Cdl M. Musson
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305_S1 Anse Pointe Rouge
L’Anse Pointe Rouge est aujourd’hui une coupure à l’urbanisation entre la baie de Tartane et la Pointe des Batteries. Initialement déboisé pour la culture cannière, ce site, désormais protégé par le Conservatoire du littoral, se dessine en une succession de quatre petits mornes arborés d’une végétation humide et de façon peu dense, tandis que la forêt haute est visible au loin. Une faune forestière y a trouvé refuge, mangoustes, manicous, reptiles et Bernards l’Hermite. Le nom qui baptise ce site est dû à la couleur ocre rouge des anses et des falaises. Le contraste et l’harmonie composés par le trio du bleu marin, du rouge minéral et du vert végétal fascine les regards et rend le site exceptionnel d’un point de vue paysager.