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Golfes et caps : de la Napoule au cap d’Antibes, les îles de Lérins
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Cannes, le golfe de la Napoule, 2013.
Depuis les collines qui surplombent Cannes et l’espace naturel protégé de la Croix des Gardes, site du Conservatoire du littoral, la vue embrasse vers le sud-ouest la ligne des crêtes de l’Estérel et du Tanneron. La ville « moderne » s’est développée tout le long du cordon littoral sableux en un front urbain mêlant palaces et hôtels de luxe construits au début du XXe siècle, et grands et hauts immeubles résidentiels à l’architecture plus banale. 
© plb6
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Cannes, le vieux port et le quartier du Suquet, 2012.
À l’arrière du vieux port de Cannes, la colline du Suquet, son château et sa tour médiévale sont un des nombreux points de vue sur Cannes et sa baie.
© Jean Belvisi / OPPLVM
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Cannes, pointe de la Croisette, Palais des Festivals et des Congrès.
Le caractère de port « provençal », accentué par la coloration des façades, contraste d’une part avec celui de la promenade et de la Croisette, où domine le blanc des façades des palaces et des résidences de standing, et d’autre part avec l’architecture de type international du Palais des Festivals et des Congrès. 
© Cdl
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Cannes, la colline boisée de la Croix des Gardes, 2013.
Au-dessus de Cannes, le massif protégé et la réserve naturelle de la Croix des Gardes où le premier mimosa de la Côte d’Azur a été planté à la fin du XIXe siècle, fait partie des rares bouts de collines non construits au-dessus du golfe de la Napoule.
© Cdl
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Cannes, la colline boisée de la Croix des Gardes, 2013.
Très fréquentés, ces 59 ha appartiennent aujourd’hui au Conservatoire du littoral qui en assure ainsi la protection définitive. Avec ses partenaires (Ville de Cannes, ONF) il veille au renforcement de ses qualités paysagères (grandes vues sur la baie grâce au chemin des belvédères, culture encadrée du mimosa sur terrasses) et de ses richesses naturelles de forêt méditerranéenne sur sol acide (végétation de maquis, pin parasol, chêne-liège).
© Florian Pepellin
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Les îles de Lérins, vues depuis les hauteurs de Théoule-sur-Mer, 2014.
L’archipel de Lérins (île Marguerite et Saint-Honorat et leurs petits îlots) fait face au cap de la Croisette, qui sépare le golfe Juan de celui de la Napoule. Plates, couvertes de forêt (Sainte-Marguerite) et d’un important patrimoine religieux et défensif (Saint-Honorat), avec les multiples bateaux qui les croisent au large, elles animent le paysage maritime de la baie. 
© Jean Belvisi / OPPLVM
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Ile Saint-Honorat, 2014.
La valeur du patrimoine architectural de l’île Saint-Honorat et celle du patrimoine naturel en bon état de conservation de l’île Sainte-Marguerite ont valu aux deux îles leur classement au titre de la loi de 1930.
© Jean Belvisi / OPPLVM
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Ile Sainte-Marguerite, 2014.
La valeur du patrimoine architectural de l’île Saint-Honorat et celle du patrimoine naturel en bon état de conservation de l’île Sainte-Marguerite ont valu aux deux îles leur classement au titre de la loi de 1930.
© Cdl
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Vallauris, le massif du Paradou, 2007.
 À 200 m au-dessus du golfe Juan, la colline abritant le site du Conservatoire du littoral du Paradou est parcourue de petits vallons qui accueillaient autrefois des exploitations horticoles.
© Cdl
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Vallauris, le massif du Paradou, 2011.
Aujourd’hui seul espace non urbanisé des hauteurs de la baie, c’est un lieu de promenade apprécié pour la qualité de ses vues sur la mer et sur le bois de la Garoupe qui couronne au loin le cap d’Antibes.
© Jean Belvisi / OPPLVM
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Antibes, Cap d’Antibes, Château de la Croë, 2014.
Le littoral de Cannes, de Juan les Pins ou d’Antibes est souvent rendu inaccessible par des propriétés privées qui en ferment l’accès. C’est le cas à Vallauris, où cette immense propriété du roi d’Arabie Saoudite interdit le passage sur le rivage.
© Jean Belvisi / OPPLVM
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Vallauris, Golfe-Juan, Château de l’Horizon, 2014.
En revanche, le propriétaire du château de Croë, à l’extrémité sud du cap d’Antibes, dont la belle pinède est un espace naturel classé, a financé le recul de son mur et ainsi rendu sa continuité au sentier du littoral. Cependant, malgré cet effort, le contraste reste saisissant entre l’étroitesse de l’espace public sur lequel les promeneurs semblent à peine invités, et l’envergure de l’espace privé du domaine qui le surplombe.
© Cdl
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Cap d’Antibes, vue depuis phare de la Garoupe, 2013.
Belvédère prisé, le promontoire de la Garoupe au cap d’Antibes offre une grande vue sur le golfe Juan et les collines urbanisées de Vallauris. À l’horizon, vers le sud-ouest, les reliefs du massif de l’Estérel.
© Cdl
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Cap d’Antibes, Batterie du Graillon, du haut de la tour.
Édifiée au début du XVIIIe siècle pour renforcer la défense du golfe Juan, la batterie du Graillon se situe aujourd’hui en limite d’une forme urbaine pavillonnaire continue. Les 2 ha de pinède qui l’entourent et ses 400 mètres de linéaire côtier naturel (falaises calcaires et zones marines classées Natura 2000) sont ouverts au public et aménagés. À partir de la tour, la vue s’étend jusqu’aux sommets enneigés des Alpes.