Èze, bord de mer, 2007.
.Au bas des pentes, les constructions s’étagent graduellement. Au bord de la mer, des propriétés « pieds dans l’eau » s’égrènent, séparées les unes des autres par de vastes jardins arborés. Plus haut sur les pentes, la densité augmente et la taille des parcelles se fait plus modeste. Le nombre important de maisons et leur dispersion sur les pentes créent une impression générale et tenace d’émiettement et d’étalement, que seules les contraintes des reliefs semblent capables d’endiguer. À gauche, le cap Roux, site classé au titre de la loi de 1930 en 1973, est resté boisé, exempt de toute urbanisation.