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Entre Capbreton et les rives de l’Adour, un ensemble de zones humides rétro-littorales
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Pointe de Capbreton.
Vu depuis la dune bordière, le front urbain du port de Capbreton et d’Hossegor marque une rupture dans la continuité rectiligne de la côte landaise, due notamment à la présence du gouffre de Capbreton, paléo-vallée du fleuve Adour. Encore haute, la dune va en s'affaissant doucement vers le sud, ouvrant une large perspective sur les industries de l’Adour et le massif pyrénéen.
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Pointe de Capbreton, dune et forêt, 2013.
Au-delà de la dune s’étend la forêt dunaire de la pointe de Capbreton. Elle est parcourue par le Boudigau, dont le cours, parallèle au rivage, rejoint plus loin le port de Capbreton. L’acquisition de ces parcelles par le Conservatoire du littoral à partir des années 1980 a limité l’étendue de l’urbanisation au sud de la ville.
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Aboukir-La Montagne, 2009.
Le hameau d’Aboukir, nommé ainsi, comme plusieurs villages des Landes, en hommage à la victoire remportée en Égypte par l'armée napoléonienne. Signifiant "la dune" dans les Landes, le toponyme "La Montagne" se retrouve dans de nombreux noms de lieux-dits de la région. Traversant le site, le ruisseau de l’Anguillère aménage des ambiances intimistes et explique la présence de clairières encore cultivées il y a peu.
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« Le Métro », 2011.
Sur la commune d’Ondres et de Tarnos, le site  du « Métro » (du nom d’une colonie de vacances du Métropolitain de Paris implantée à proximité de l’océan à Tarnos) est bordé par une frange forestière et ouvre une large vue dégagée sur le célèbre sommet de la Rhune. Le petit ruisseau de l’Aygas termine sa course au cœur de la forêt en formant de petites étendues d’eau. Pourtant tout proche d’un noyau urbain et d’une zone industrielle, ce site protégé en partie par le Conservatoire du littoral se déploie dans une ambiance calme et paisible, propice à l'observation du bruissement de l’avifaune.
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« Le Métro », 2016.
Sur la commune d’Ondres et de Tarnos, le site  du « Métro » (du nom d’une colonie de vacances du Métropolitain de Paris implantée à proximité de l’océan à Tarnos) est bordé par une frange forestière et ouvre une large vue dégagée sur le célèbre sommet de la Rhune. Le petit ruisseau de l’Aygas termine sa course au cœur de la forêt en formant de petites étendues d’eau. Pourtant tout proche d’un noyau urbain et d’une zone industrielle, ce site protégé en partie par le Conservatoire du littoral se déploie dans une ambiance calme et paisible, propice à l'observation du bruissement de l’avifaune.
© RNN Marais d’Orx – Romain Datcharry
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Le marais d’Orx, 2005.
Bordé par les collines du Seignanx au sud-est et par les dunes à l’ouest, ce marécage immense récolte les eaux d’un vaste bassin versant. Poldérisé au XIXe siècle, le marais d’Orx conserve sa structure malgré une renaturation partielle. Il est formé de quatre casiers séparés par des digues équipées de pompes et de vannes, permettant ainsi une gestion hydraulique menée désormais en faveur de la biodiversité. Entouré d’un canal de ceinture relié au ruisseau du Boudigau, le marais égrène ses ambiances variées, baignées de lumière et rythmées par les différences de niveaux d’eau. Animé par la présence et le passage d’un grand nombre d’oiseaux migrateurs, il est classé Réserve naturelle nationale. En arrière-plan, lorsque l’air est limpide et le ciel clair, on aperçoit les Pyrénées au loin.