SAINT-BARTHELEMY
L’île de Saint-Barthélemy est une collectivité d’Outre-mer française. Mesurant environ 25 km², en comptant ses îlets inhabités, Saint-Barth est essentiellement formé de roches volcaniques. Son relief est faible, générant très peu de précipitations. Ainsi, la végétation de l’île est assez sèche (de type xérophile). Son littoral très peu découpé , est caractérisé par un milieu naturel riche en espèces floristiques et faunistiques rares, voir endémiques (comme plusieurs espèces de scorpion : Le Solifuge de Béatrice, la « Mini-24 heures » de Saint-Barth et le scorpion de Saint-Barth). Lire plus
L’île de Saint-Barthélemy est une collectivité d’Outre-mer française. Mesurant environ 25 km², en comptant ses îlets inhabités, Saint-Barth est essentiellement formé de roches volcaniques. Son relief est faible, générant très peu de précipitations. Ainsi, la végétation de l’île est assez sèche (de type xérophile). Son littoral très peu découpé , est caractérisé par un milieu naturel riche en espèces floristiques et faunistiques rares, voir endémiques (comme plusieurs espèces de scorpion : Le Solifuge de Béatrice, la « Mini-24 heures » de Saint-Barth et le scorpion de Saint-Barth).
Regards d'artistes
Benämning: Marinmotiv, huile sur toile
The Maritime Museum, Stockholm
Jean Marie Ledée est un célèbre auteur de Saint-Barthélemy. Il a raconté à Raphaël Confiant, poète martiniquais, la manière dont il voyait son île : « Et sache aussi que nous, les St-Barth, on n’a rien à voir avec les Blancs-France. Ha-ha-ha ! D’ailleurs puisque tu dis vouloir revenir, évite surtout la haute saison, quand la baie de Gustavia est encombrée de yatchs de milliardaires. Ah, on ne crache pas sur cette manne ! Elle profite à beaucoup de St-Barth, mais on n’en devient pas pour autant milliardaires à notre tour. »
Jean Marie Ledée est un célèbre auteur de Saint-Barthélemy. Il a raconté à Raphaël Confiant, poète martiniquais, la manière dont il voyait son île :
« Et sache aussi que nous, les St-Barth, on n’a rien à voir avec les Blancs-France. Ha-ha-ha ! D’ailleurs puisque tu dis vouloir revenir, évite surtout la haute saison, quand la baie de Gustavia est encombrée de yatchs de milliardaires. Ah, on ne crache pas sur cette manne ! Elle profite à beaucoup de St-Barth, mais on n’en devient pas pour autant milliardaires à notre tour. »